Surveillance de la bibliothèque

Lalia surveillait la bibliothèque un café a la main. Elle le but tranquillement tandis que les élèves faisaient leurs recherches. Malheuresement pour eux Lalia était d'une humeur exécrable. Elle avait peu dormit de la nuit et devoir en plus surveiller des élèves intenable la rendaient plus méchante que d'habitude. Comble, le travail administratif s'etait accumulé et elle devait absolument le faire au plus vite. Sous les yeux des élèves concentraient, Lalia commenca elle aussi son travail.

La bibliothèque était bien l'un des seuls endroits où Edward aurait daigné pointer le bout de son nez, droit parfait et aquilin. Aussi, le jeune homme s'y était rendu de bonne heure ce matin, à midi, il n'avait pas mangé et depuis, il continuait des ouvrages de médecine, le plus tranquillement du monde. Comme s'il avait toujours été un natif des lieux, d'ailleurs, il se fichait pas mal de ce que les autres pouvianet penser de lui, il ne perdrait pas son temps à se faire des amis, il deviendrait médecin. Et puis, à quoi bon avoir des sentiments quand vous devez opérer une personne chère? C'était stupide et cela pouvait vous faire rater une opération. Rater votre carrière. Oui, Edward était associal, il se moquait qu'on le lui dises.

Tournant pour la énimèe fois la page d'un volume différent, Edward se détendit sur sa chaise. Il avait bien bossé aujourd'hui. Il lui fallait faire une petit pause pour reposer ses yeux. Il recula un peu sa chiase pour mettre plus aisément ses pieds sur la table de travail, puis il se balança un peu sur sa chaise, pas assez pour perdre son sens de l'équilibre. Assez pour se détendre.

Lalia s'ennuiait avec son travail administratif. Elle commenca a le faire mais voyant tout ce qui l'attendait elle alla se servir un autre café. En repassant, elle vit un élève se balancant sur sa chaise. Elle apercut également un livre de médecine a coté de lui. Lalia passa rapidement. L'élève continuait de se balancait sur sa chaise ce qui avait le don d'exasperer Lalia. Elle murmura

"Je deteste les élèves qui se balancent sur leurs chaise ca a le don de m'enerver au plus haut point"

Sans attendre une seconde de plus elle utilisa la télékinéise pour bloque la chaise. N'étant plus perturber, elle continua son travail comme si de rien n'était, presque comme si elle était innocente.

N'accordant que peu d'intérêts aux quelques personnes qui passaient près de lui, Edward se balança nonchalement sur sa chaise... jusqu'au moment où il ne put plus se balancer. La chaise s'était mystérieusement bloquée et à vrai dire, il n'y comprenait pas grand-chose? Sensation qu'il détestait. A qui lui servait-il de faire des études de médecine si c'était pour se retrouver bloqué de la sorte? Il s'agita un peu sur sa chaise, essayant de la faire en vain bouger. Les quelques personnes qui le regardèrent pour lui dire de ne pas faire de bruit se prirent un discret signe d "fermez votre clapet et retournez à vos bouquins stupides et néanmoins plus intelligents que vous" ce qui équialait à un mouvement de pince des doigts d'Edward, agrémenté d'un regard franchement peu agréable.

Puis, il chercha le fautif ou plutôt la fautive. Une jeune femme lui semblait particulièrement suspecte, elle était passé à côté, sourire aux lèvres quand il avait arrête de ce balancer. Se retournant très légèrement sur sa chaise, Edward la toisa d'un regard mauvais.

Lalia continua son travail, son café a la bouche. Elle regarda la salle et certains élèves regardaient le garcon que Lalia avait immobiliser. Celui-ci comprit rapidement qu'elle était la responsable. Il l'a regarda avec un regard disons des plus méchants. Lalia se trahit en souriant. Ne voulant pas se laisser intimider par un élève, elle utilisa son pouvoir pour casser un des pieds de la chaise. Le pied céda mais la chaise et le garcon restèrent en l'air. Lalia cassa le 2ème pied. Ne désirant pas continuais un combat qui selon elle était gagner d'avance. Elle continua son travail en laissant l'élève en suspent.

Deux pieds de la chaise d'Edward se cassèrent. Ce fut la goutte, ou plutôt les gouttes qui firent déborder le vase. Il voulait feignanter dans la bibliothèque, et autant que bon lui semblerait. Il se leva, abadonnant la chaise qui tomba d'elle-même et ce dirigea vers l'enquiquineuse qui s'amusait à détruite les chaises sur lesquelles il était assis. Bien sûr, un tel comportement n'était pas digne d'un gentleman, mais pour l'instant il s'en moquait comme de la vie d'un moustique.

De sa démarche élégante qui ne collait pas franchement avec son caracctère, il alla voir cette femme, enfin, cette vieille et s'adressa à elle sans se soucier de ce quel les élèves diraient puisqu'il ne comptait pas parler doucement pour ne pas les déranger. Qu'ils aillent lire ailleurs s'ils n'étaient pas contents! Il était hors de question qu'il se laisse intimider comme ça par une vielle de l'établissement, et il comptait bien lui dire ses quatres vérités. Avant de retourner sur une chiase qu'il aurait transmuté si nécessaire.

-Bon, soyez claire, ça vous amuse de casser les pieds de ma chaise ou c'est juste parce que je vous fait de l'effet?

Lalia ecrivait maintenant a toute vitesse. Plus vite elle aurait terminer plus vite elle pourrait partir. D'un coup, elle leva la tête et tomba nez a nez avec le garcon a qui elle avait cassé la chaise. Il lui demanda si cela l'amuser de casser les pieds de sa chaise ou si c'était juste parce qu'il lui faisait de l'effet. Lalia le regarda et commenca a rire.

"Hahahaha ca c'est la meilleure. Je veux juste vous dire que les gamins dans votre genre..."

Elle s'arreta de rire pour afficher un sourire sadique.

"M'exasperer beaucoup"

Lalia le regarda en gardant ce sourire qui metterait certaines personnes hors d'elles

Edward avait toujours eu un don pour le sarcasme, aussi, la réaction de la vieille l'amusa beaucoup et l'incita à poursuivre. Il n'arrêterait pas de sitôt. D'ailleurs, il commençait à s'amuser. Aussi, il se pencha sa la table de travail de son interlocutrice et continua son petit numéro.

-Je vous exaspère? AU moins, vous m'accordez de l'attention!

Edward aimait bien jouer les séducteurs pour embêter la gente féminine et maintenant qu'il était lancé, il attendrait que cette femme craque.

-Enfin, tout le monde n'as pas la chance d'avoir mon âge! D'ailleurs, quel est le votre? Je vous donnerais une trentaine mais je suis sûr de donner un chiffre trop peu élévé!

C'était méchant, c'était typique d'Edward.

Le garcon continua et Lalia le regardait toujours. Il commenca a parler de son age et il demanda a Lalia le sien. Il suposa même qu'elle devait avoir la trentaine ou même il insinuait que Lalia était plus vieille que ca. Lalia le regarda.

"Eh bien Eh bien, je vois que de nos jours les parents ne font plus rien de leurs enfants. Je pensais que demandez l'age d'une dame etait des plus revoltant. Mais bon je pense que vous ne connaissez surement pas la définition du mot Education ou du mot Politesse."

Lalia posa son stylo.

"Je vais vous dire quelque chose monsieur qui pense taper dans l'oeil de tous. Si il n'y avait aucun témoin je pense que je vous aurez arracher les membres un par un, en vous arrachant des cris de souffrance."

Lalia sourie.

Edward n'appréica pas qu'elle parle de l'éducation que son père lui avait donné. Elle dénigrait son père, s'il n'avait pas eu son maintien holympien (hem, hem) il l'aurait sans doute giflée pour la provquer en duel. Mais l'on ne faisait pas ça à une dame, qu'elle soit anthipatihque ou non.

-Ma mère est morte, et vu l'état de mon père et le fait que j'ai hérité de la fortune familiale, je pense que mes parents auraient effectivement eu du mal à m'apprendre les bonnes manières.
Révoltant? il me semble donc que vous avez des raions de le cacher, enfin, les anti-rides de nos jours font des miracles!
Et vous vous trompez, je connais parfaitement le sens de ces mots. C'est d'ailleurs pour ça que je prends un malin plaisir à faire le cntraire! Que voulez-vous, on s'occupe comme on peut dans un endroit pareil!

Et na! Dans les dents! Edward avait l'intuition que cette vieille était enseignante ici, peut-être même plus et dénigrer son lieu de travail lui semblait une brillante idée.

-Les témoins vous gênent-ils tant que ça? En tout cas vous être drôlement entreprenante! Ah, que faisez les parents des précédentes générations? Quand à m'arracher les emnbres, vous pourriez au moins avoir la délicatsse de me les découper proprement! Ainsi, vous éviterez de salir vos petites mains en me maltraitant! Si ça vous dit, je peux même vous forunir un couteau!

Lalia l'écouta parler. il parlait de tout : d'anti ride et de sa mère. Lalia commenca a bailler d'ennuit. Il se moqua d'elle et lui proposa même un couteau pour lui couper les membres. Lalia bailla et regarda la porte. Soudain un drole d'objet pasa la porte et alla tomber pres de Lalia.

"Améthyste t'en a mis du temps pour faire une simple ronde. Tiens j'ai quelque chose pour toi. Ce jeune homme est volontaire pour mourir par ta main. Fais en ce que tu veux, ce gamin me chauffe un peu trop."

Lalia se leva et passa a coté du garcon.

"Amusez vous bien les enfants"

Elle alla se chercher un café tandis la faux commenca a bouger anormalement.

La vieille était particulièrement humiliante en baillant de la sorte. Elle baillait à s'en décrocher la mâchoire, ou plutôt le dentier. Puis, une faux arriva, génial, en plus d'être une grand-mère antpiathique, elle était doublée d'une paysante. Edward suivit le mouvement de la faux. Alors, il aurait du avoir peur? Raté, il avait plutôt envie de rigoler.

-Oh, mon dieu! J'en tremble! Fichtre! Que c'est terrifiant! Vous pourriez avoir le cran de faire cela vous même, Madame, madame...tiens, c'est vrai que je ne connais pas votre nom. Auriez vous l'honneur de me le dire pour que je l'emportes avec moi dans ma tombe?

Le ton d'Edward était tout à fait sarcastique. Pourquoi avoir peur de mourrir? Cela équivalait à se transformer en bloc de protéines, rien de plus. Franchement terrifiant, surtout quand c'était fait par une faux ridicule. Ah, mon dieu, que le monde était cruel! Puis, Edward vit la vielle aller se chercher un café.

-Vous y êtes vraiment accro, n'est-ce pas? Cette dépendance tout à fait ridicule finira par abîmer vos nerfs.

Lalia bu son café en regardant sa faux. Le garcon se moquait d'elle mais Lalia n'était pas du genre a faire attention a ca. Sa faux continuais de bouger. Le garcon lui demanda son nom pour pouvoir l'emporter dans sa tombe. Lalia le regarda.

"Pas besoin je pense pas que si tu meurs tu en auras besoin."

Lalia continua son café. La garcon lui dit que etre accro au café allait lui abimer les nerfs. Lalia le défia.

"C'est mes affaires après tout gamin. Que je me tue ou pas ne te concerne en rien"

Lalia reprit sa faux et l'accrocha a son dos.

"Vraiment tu me fait pitié gamin. Que tes parents t'aient mal élevé ce n'est pas mes affaires mais comment ont-ils pu t'inscrire ici. Un gamin aussi mal poli et surtout sans ami. Je ne vois pas l'interet de venir ici si c'est pour etre seul et toujours travailler. Tes parents devaient vraiment te detester pour t'envoyer ici."

Edward pencha légèrement la tête sur le côté à la réflexion de la vieille. Alors elle ne voulait pas lui révéler son nom? Bah, il s'en passerait. Ceci-dit, c'était bien dommage, il aurait voulu garder une trace de cette intriguante personne. Pour une fois que quelqu'un lui résistait.

-Oui, c'est une vision un peu restreinte des chose, mais vous n'avez pas tout à fait tort... ni raison d'ailleurs. Du moins si vous croyez au paradis, ce qui n'est pas mon cas, c'est juste une croyance stupide et populaire quand on y réfléchit.

Puis, il la regarda boire une gorgée de café.

-Aussi incroyable que cela puisse vous paraître vu l'estime que vous avez de moi, j'aspires à devenir médecin. Je me suis déjà pas mal avancé dans mes études vers ce domaine, alors je voudrais bien que vous arrêtiez d'abîmer vos nerfs et par conséquent votre coeur de la sorte. C'est du gâchis.

Il écouta sans broncher la réflexion sur ses parents. Parfois , il se demandait s'il était à la hauteur des espoirs de son père. Il n'avait jamais eu de réponse, son père était mort, il devait s'en contenter.

-Je me fiches de savoir s'ils me détestaient. Du fin-fond de leurs tombes, ils n'en ont plus vraiment l'occasion, non? Et de toute façon, je suis ici parce que je me suis fait renvoyé des pensionnats où j'étais. Je m'y ennuyais. En revanche, si vous continuez de me parler, je pense que je vais nettement moins m'ennuyer!
Les amis... je m'en moque pas mal. Je répugne à l'idée d'opérer quelqu'un auquel je tiens et prendre le risque de tuer cette personne. Alors à qui me servirait-il d'être médecin si je ne suis même pas capable de sauver mes proches?

Lalia regarda le garcon. Il lui parla du paradis et apparemment il n'y croyait pas.

"De toute manière que vous y croyez ou pas mon point de vue m'est personnel et donc ne vous interesse pas."

Le garcon voulait devenir médecin. Lalia avala son café de travers. Elle se mit a plaindre ses futurs patients. Il ne voulait donc pas que Lalia s'abime le coeur. En entendant cela Lalia ria un bon moment.

"M'abimer le coeur a coup de café...J'ai jamais entendu pareille sotise. Cela va faire plus de 6 ans que j'en bois et ca ne m'a toujours pas tué."

Apparemment ni les amis ni ses parents lui faisait avoir une petite émotion. Une seule phrase fit bouger Lalia. Il ne voulait pas avoir d'amis juste parce que si il devait les operés, il ne voulait pas avoir le sentiment de risquer de tuer quelqu'un. Lalia sentit une colère enorme montait. Elle s'avanca vers le garcon et le gifla.

"Tu te crois bien avec de telles idées???Peux-tu me dire ce que tu as la dans la poitrine. Je parie que tu vas me répondre sans etat d'ame un coeur mais moi je pense que tu n'as rien d'autre d'un organe en glace. je ne vois pas non plus le besoin de continuer cette conversation. Retourne t'asseoir gentiment et continue tes études de médecin ou plutot de boucher"

Lalia se dirigea vers une étagère de livres et commenca a cherche un livre en particulier.